Présent ce dimanche pour une séance de détection de nouveaux talents du club, Yannick Stopyra a répondu à nos questions. L’occasion de nous édifier sur sa présence au Gabon, l’état du partenariat entre les Girondins de Bordeaux et le CF Mounana, et les perspectives de cette coopération.

Dans quel cadre êtes-vous exactement présent au Gabon ?

Il y a deux choses déjà. J’ai été invité par le Gabon pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Ainsi, on a établi un planning de façon à associer deux actions, à savoir : observer la CAN et, surtout, assurer le suivi du partenariat que nous avons avec le club de Mounana. Club d’où nous vient un jeune joueur, Aaron Boupendza, qui a récemment signé aux Girondins de Bordeaux. Et, tous les ans, nous suivons les jeunes joueurs du CFM pour le futur des Girondins.

A quel niveau situez-vous votre partenariat avec le CFM aujourd’hui ? Comment trouvez-vous la formation au niveau de Mounana ?

Déjà, je constate que c’est un club qui a des résultats, puisque l’équipe première enregistre de très bons résultats en Coupes d’Afrique et en championnat. Il y a aussi de bons joueurs d’avenir, une qualité de footballeurs qui peut nous intéresser et le suivi va être très important.

Désormais, il faut habituer les gamins à jouer aussi avec nous en les invitant pour des stages aux Girondins de Bordeaux. Je parle ici d’une forme de coopération et d’union avec le club de Mounana.

Donc, en termes de perspectives, nous pouvons nous attendre à ce qu’il y ait d’autres Aaron Boupendza ?

Oui. On veut surtout, au fur et à mesure, nous étendre sur l’ensemble du Gabon, par le biais de Mounana. Pour nous, ce qui est important, c’est d’avoir des futurs Aubameyang (Pierre-Emérick, ndlr) qui puissent, de Mounana, venir renforcer notre attaque, voire notre milieu de terrain ou notre défense aux Girondins de Bordeaux.

Oui, c’est important l’avenir, et cet avenir passe par Mounana.

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